Middernacht 5 juni 2019 zijn bij een korte zeer hevige storm – valwinden aan het begin van een onweersbui – honderden bomen in de stad gesneuveld.
Langs de Amstel
En op andere plaatsen in de binnenstad. De bomen vallen altijd in de gracht – aan de kant van de kade hebben ze minder wortels.
Verdriet in 1690 om omgehakte bomen
Je fus hier au Buron, j’en reviens le soir ; je pensai pleurer en voyant la dégradation de cette terre : il y avait les plus vieux bois du monde ; mon fils, dans son dernier voyage, lui a donné les derniers coups de cognée. Il a encore voulu vendre un petit bouquet qui faisait une assez grande beauté ; tout cela est pitoyable : il en a rapporté 400 pistoles, dont il n’eut pas un sou un mois après […} Ma bonne, il faut que vous essuyez tout ceci. Toutes ces dryades affligées que je vis hier, tous ces vieux sylvains qui ne savent plus où se retirer, tous ces anciens corbeaux établis depuis 200 ans dans l’horreur de ces bois, ces chouettes qui, dans cette obscurité, annoncaient, par leurs funestes cries, les malheurs de tous les hommes ; tout cela me fit hier des plaintes qui me touchèrent sensiblement le coeur ; et que sait-on même si plusieurs de ces vieux chênes n’ont point parlé, comme celui de Clorinde ? Ce lieu était un luogo d’incanto, s’il en fut jamais : j’en devins donc toute triste.
Madame de Sévingné aan haar dochter, de comtesse de Grignan, 7 mei 1690